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Il s'agit du fait de se faire du souci pour son avenir et celui des générations futures, sur la base des changements climatiques et environnementaux perçus dans l’actualité et envisagés pour le futur.
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Cette inquiétude amène nombre d'entre nous à se sentir impuissants, vulnérables, et frustrés dans notre capacité d’action pour influencer le changement climatique.
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Elle n’est pas considérée par les professionnels de la santé comme une maladie car il s’agirait d’une réaction rationnelle face aux actualités scientifiques concernant l’avenir de la planète.
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Ce qui est inconstant c'est la sensibilité de chacun à ce constat.
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Les plus sensibles peuvent se sentir paralysés et ne presque plus voir d’issues qui permettraient à la Terre de s’en sortir.
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D’autres se sentiront capables d’agir et adopteront dans leurs vies tout un tas de comportements visant à protéger au mieux la planète !
- D’après le sondage mené par Yougov en 2019 : l’éco-anxiété se manifeste par de la colère pour 39% des personnes interrogées et la peur serait ressentie auprès de 34% d’entre elles. Dans d’autres études, la tristesse et des sentiments comme celui d’être impuissant ou vulnérable semblent être prédominants.
Ce qui est important, c'est d'en parler ! Parler de ses angoisses par rapport à l'avenir bien sûr, mais aussi parler de l'avenir de notre planète autour de soi. Si cette éco-anxiété devient paralysante, il peut être intéressant d'en parler à des professionnels de santé !
Il n'y a pas de petites actions et chacun peut faire à son rythme, ce qu'il se sent capable de faire.
Il existe de nombreuses associations qui œuvrent à l'éco-responsabilité notamment une association vétérinaire : Écovéto !
La rédaction
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